Quand mon frère Roos m’a approché pour cette chronique, j’ai longtemps hésité. Pourtant, je ne suis pas du genre à cacher grand-chose, surtout dans une partouze bien décadente où pénis, fesses et vagins s’excitent en un tour de main comme Plume le chante si bien dans La Fête du Mort. Non, mon plaisir coupable n’est […]
