T’aimes ça des longs weekends? Moi aussi, même si ça me coûte toujours un peu plus cher au final. Que veux-tu, il faut profiter de la vie quand on en a la chance, et le boulot nuit toujours un peu de ce côté-là. Pas que c’est pas plaisant au travail, mais c’est diablement plus amusant ailleurs. J’y reviendrai dans quelques paragraphes si tu te rends là…
Avant de continuer, ce serait une bonne idée de se mettre une petite musique d’ambiance, hein? Alors voilà, je nous gâte avec la galette intitulée Creeps de la formation ontarienne Indian Handcrafts. Pèse sur play juste ci-dessous pis je continue ma chronique après; deal?
Bon, tu veux savoir comment je suis tombé sur cette belle affaire-là, c’est évident. Je te raconte. Comme tu le sais sûrement, je suis un grand fan du groupe Oktoplut, ce duo québécois de rock/stoner/grunge dont il est souvent question sur ce site. Et comme Oktoplut foulera les planches du Turbo Haüs le 14 octobre avec d’autres bands, il fallait que je jette un coup d’oreille à la musique de ces derniers. C’est à ce moment que j’ai découvert Indian Handcrafts (ainsi que Biblical et USA out of Vietnam par la même occasion). Du bon stock, l’ami. Les trois groupes, évidemment, mais c’est de Indian Handcrafts dont je te parle ici. Du rock qui fait penser à Black Sabbath, Mastodon, Trouble et Kyuss. Un mélange de tout ça… joué à deux! Méchante bibitte qui sonne d’aplomb, laisse-moi te le rappeler. Et ce morceau, The Divider, catchy à souhait avec cet air à la Trooper qui te fera chanter et danser comme un gamin dans pas long…
Bon, je te jasais de la job tantôt. Je sais pas ce que tu fais dans la vie, alors je t’écoeurerai pas avec mon gagne-pain (pas celui sur philozique.com qui me rapporte à peine quelques consommations), mais peu importe le boulot, il y a des obligations irritantes. Heureusement, je peux parfois compter sur mes collègues pour me divertir. Ces temps-ci, je m’amuse follement en écoutant Bouche de Thrash et MA Rush raconter leurs récents déboires amoureux. Ne va pas penser que je ris du malheur des autres, c’est pas ça du tout. Je suis tellement mal placé pour rire de quiconque avec ma psy on and off. Non, c’est juste divertissant et, je dois l’avouer, rassurant de savoir que tout n’est pas rose ailleurs. Et quand je suis tombé par hasard sur ce clip, je me suis promis de le partager avec eux (et avec toi), question de dédramatiser la situation. Vois-tu, Roos Spekto est quand même capable de compassion parfois…
Sur ces belles pensées, je te souhaite du bon temps et du succès dans tes projets sexuels; à la prochaine, cher ami!
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