Un gros samedi soir

En entrée, une rencontre au Benelux, un de nos quartiers généraux privilégiés. De grandes questions philosophiques, des discussions enflammées, un apprentissage collectif. Vous connaissez ça, vous, la diphallia? Le sodurètre? On vous expliquera ça un autre jour…

Les élections américaines font jaser. MA Rush et Gia sont inquiets. Peut-être que leurs angoisses se seraient dissipées s’ils nous avaient accompagnés au spectacle des Goules. Donc après 4-5 consommations, nos chemins se sont séparés. Le Club Soda nous appelait!

Gazoline a réussi tant bien que mal à réchauffer la salle. Défi pas évident du tout devant si peu de gens, surtout là pour les Goules d’ailleurs. Chapeau pour la qualité du son, le groupe a rempli son mandat. Du Caféïne en plus propre selon les dires de Dubby, drôlement déguisé pour l’occasion.

Les Goules n’ont pas trop fait attendre la foule après la prestation de Gazoline. Et déjà après une brève intro, on passe aux choses sérieuses avec Coma. Puis Parle, Parle et Bouddha; Les Goules assument très bien leur dernière galette. La suite du spectacle offrira un bon mélange des quatre albums du groupe. Plusieurs moments forts, sûrement différents d’une personne à l’autre; Canton, Fifotte, Couleuvre, Baleine, Turlutte et Ville dans notre cas à la rédaction.

Un excellent spectacle qui n’a laissé personne sur sa faim. Espérons maintenant les revoir un de ces jours…

La version de notre collaborateur Roos Spekto sera disponible sous peu sur la plateforme spektophiles.com. L’arrestation en fin de soirée de son frère, Rio Spekto, sera évidemment au centre  de son récit…

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