Dubby y est allé de ses priorités pour la journée du vendredi, au tour d’un deuxième membre de notre équipe de nous présenter son plan de match pour samedi, l’impayable Spitty.
Philozique, il y a de ces choses qu’on ne doit pas changer; une présence au Pouzza le samedi est une de celles-là! Comme l’an passé, je serai prêt, surtout avec Les Sainte Catherines au menu, la perle du festival. Mais bien avant cette prestation, plusieurs bands me font de l’oeil. Voici l’itinéraire théorique que je me suis construit entre deux consommations:
Question de bien débuter le tout, ça me prend une tite frette dehors au Jardin des Bières en écoutant un bon band. Pourquoi ne pas ouvrir le bal avec The Penske File? Un band entraînant sans trop d’excès, juste parfait sous le soleil pour mettre de la joie dans mon coeur de victime.
Pis tant qu’à être là, aussi bien voir ce que Ray Bottlerocket a dans le corps sans son jumeau. Son album Do You Wanna Go To Tijuana? n’est pas mauvais du tout. Chose certaine, je ne raterai pas la prestation aux Foufs de Lost Love, groupe tant vanté par deux scribes d’ici. Du rock qui met de bonne humeur, j’en ai besoin par les temps qui courent!
Là, il faut que je t’explique de quoi, lecteur curieux. L’affaire de ce samedi,c’est que la grosse tête d’affiche est The Sainte Catherines et je veux être certain de ne pas me frapper le nez à une affiche sold out en revenant trop tard aux Foufs. Faque fuck le risque, même si le punk est une affaire de risque, je reste aux Foufs jusqu’à minuit. Je me claque Pkew Pkew Pkew, The Hunters, Night Birds, The Suicide Machines pis les Ste Cath… As-tu bien saisi l’importance de mes propos jeune punk au nombril encore humide? Manque pas ta shot ou tu le regretteras…
Pis s’il me reste du jus, je suivrai les autres qui finiront ça aux Katakömbes pour assister aux spectacles musclés de Full of Hell et Ringworm. Maudite belle soirée à prévoir…