Ça brasse dans les bureaux de Philozique, je peux vous le confirmer! Le dernier brainstorming a porté fruit, malgré les inévitables dommages collatéraux. Au chalet du Stud, tout le monde a trouvé le moyen de se colleter avec quelqu’un à une ou plusieurs reprises. Ça jouait dur dans les coins (contrairement à notre équipe aux épaulettes de velours) et parfois les gants ont été jetés pour régler la situation. Heureusement, après moult consommations et échanges musclés, un certain terrain d’entente a été trouvé. Dorénavant, une plus grande liberté sera accordée à chaque rédacteur, peu importe ses goûts ou sa philosophie. Les autres n’auront qu’à bien se tenir…
Des notes, le calepin de Philozique en est plein. Renouveler le look du site, ajouter de nouvelles chroniques, proposer plus d’albums locaux, mieux guider les amateurs de bière, etc. Bon, il suffirait de me donner un peu plus de place sur la plateforme et tous ces objectifs seraient facilement atteints, mais ça, c’est un autre débat!
Parlant de débat, il y en aura désormais sur le blog, et si c’est à l’image de ce que j’ai entendu au chalet, le lectorat sera comblé! Politique, enjeux sociaux, arts, sexualité… tout y passera, priorité accordée à la musique et à la bière de micro-brasserie évidemment. D’ailleurs, les gars n’ont pas été tendres avec MA Rush quand il a voulu écouter le dernier Trivium à l’apéro. Un bon album pourtant, un des préférés du motard pour tout vous dire, mais les boys n’en avaient rien à cirer. MA Rush avait beau prétendre que l’arrivée d’Alex Hernandez-Bent à la batterie ajoutait l’élément magique qui manquait depuis Shogun à la formation américaine, il menait un combat perdu d’avance tel un Don Quichotte devant une armée de moulins à vent. Rio affirmait que c’était de la marde, Spitty voulait écouter du vieux Rammstein pis Dubby s’était déguisé en Bozo le Clown pour écoeurer Philozique; c’était surréaliste!
Thrown Into The Fire
Il s’est bu tellement de bière pendant que j’étais là que je ne suis même pas certain de me souvenir de la crème de la crème. Je vous reviendrai là-dessus un de ces jours, ok? Je suis parti quand le Stud est allé fouiller dans sa pièce secrète, j’avais soudainement peur pour la suite des choses. Tout ça pour dire que de belles choses s’en viennent prochainement, que j’en fais partie et qu’il faut savoir s’arrêter de temps en temps pour mieux repartir. C’est ce que la plateforme a fait cette semaine… et c’est ce que j’ai fait en quittant le chalet avant que ça dérape!
À très bientôt chers lecteurs…